Faut-il investir dans l’immobilier pour sa retraite ?
Investir dans l’immobilier est un choix de placement idéal pour se créer de nouveaux sources de revenus, à la retraite. C’est à la fois une solution qui permet de devenir propriétaire d’une résidence principale à l’avenir, et également un moyen efficace pour éviter de payer un loyer au moment où les revenus diminuent. Disposer d’un bien immobilier secondaire permet aussi de se constituer une source de revenus supplémentaires, sous forme de capital si l’on choisit de le revendre, ou de loyers si l’on opte pour un investissement dans le locatif. Que vous choisissez d’investir dans un bien immobilier neuf ou ancien, de nombreuses possibilités s’offrent à vous.
Une solution pour prévenir l’instabilité des retraites
Opter pour un investissement personnel est une solution pour faire face à des retraites en perpétuelle baisse et de plus en plus incertaines. Différentes possibilités se présentent pour garantir une source de revenus supplémentaires et anticiper ses besoins ultérieurs. L’achat d’un bien immobilier permet également de se constituer un toit pour sa retraite, ou un patrimoine pour sa génération future.
Une résidence principale pour sa retraite
Le logement constitue une charge à part entière dans le budget d’un foyer. Devenir propriétaire grâce à ses économies personnelles ou un crédit immobilier, permet de s’acquitter éternellement du loyer, au moment de prendre sa retraite. C’est une solution idéale pour réduire ses dépenses, au moment où les sources de revenus s’amoindrissent. Une fois votre prêt immobilier remboursé en totalité, il ne vous restera plus qu’à payer la maintenance de votre maison, les taxes ainsi que les impôts.
Dans le cas où votre résidence principale ne convient plus à votre situation : vous avez des enfants, des petits-enfants, etc. Vous avez toujours la solution de la revente qui vous permet d’acheter une autre maison plus appropriée, à moindre frais.
Un complément de revenus
Investir dans un bien immobilier locatif est une autre option pour préparer votre retraite avec l’immobilier. C’est une solution qui permet de générer des revenus complémentaires une fois à la retraite. Bien évidement, il s’agit d’une solution complémentaire puisqu’elle permet également de réduire vos dépenses, vous loger et en même temps vous fournir des revenus supplémentaires.
Dans le cas où vous optez pour un achat financé par un prêt immobilier, vous pouvez vous aider des loyers pour couvrir tout ou en partie vos échéances. C’est la solution idéale si vous êtes encore en activité, car vous pourrez alors faire coïncider la fin de votre prêt immobilier avec la date prévue de votre départ à la retraite. A ce moment là, vous pouvez choisir de garder votre bien en location pour vous constituer des revenus supplémentaires, le revendre pour se constituer un capital ou en faire une résidence principale.
- Publié dans Actualités
Prélèvement à la source : Quels intérêts pour les nouveaux retraités ?
En vue de l’instauration du prélèvement à la source en 2019, l’Etat annule l’impôt sur vos revenus de 2018 par un crédit d’impôt spécial. Une aubaine pour tous les salariés qui vont partir en retraite fin 2018, à condition d’avoir tout compris à l’avance.
De quoi s’agit-il ?
Concrètement, le prélèvement à la source signifie que l’impôt sera désormais calculé sur vos revenus de l’année en cours, au lieu d’être basé sur ceux de l’année précédente. Cette nouvelle mesure s’appliquera dès 2019 et ne concerne donc pas vos revenus de l’année 2018. En pratique, pour éviter qu’un contribuable paie deux fois son impôt en 2019, chacun se verra attribuer un crédit d’impôt spécifique qui va « annuler » l’impôt sur ses revenus de 2018.
Les Français vont-ils pour ainsi dire connaître une « année blanche » d’impôt en 2018 ? Pas vraiment, parce que s’ils continuent à percevoir le même montant de revenus, ils devront s’acquitter d’un impôt identique tous les ans.
Ceux pour qui cette nouvelle mesure pourrait s’avérer intéressante, seront les contribuables qui vont obtenir une promotion en 2018. C’est le cas par exemple des nouveaux retraités qui vont subir une baisse de revenu lorsqu’ils vont partir à la retraite. Mais vous n’allez pas non plus gonfler vos revenus de 2018 pour échapper à l’impôt, l’administration fiscale ne vous laissera jamais faire.
L’impôt sur la prime de départ toujours de mise
Selon les explications de David Kersalé, fiscaliste aux Editions Francis Lefebvre, seuls les revenus susceptibles d’êtres recueillis à l’année, soit donc les revenus courants, seront éligibles au crédit d’impôt spécifique. Les primes de départ en retraite versées en 2018, qui constituent des revenus exceptionnels, seront donc toujours imposables en 2019. Christiane Richard, avocate fiscaliste conseille ainsi à tout nouveau retraité qui ne souhaite pas avoir la surprise de voir augmenter sa facture fiscale, de demander à étaler sa prime sur l’année de versement ainsi que sur les trois années qui suivent, ou même à profiter du régime du quotient. Outre la prime, il existe toutefois une opportunité qui correspond à l’année blanche.
L’année blanche pour les cadres
Il faut comprendre que plus il y aura de l’écart entre votre salaire de 2018 et votre future retraite, plus vous ferez des économies d’impôt. L’année blanche profitera ainsi beaucoup plus aux cadres. D’un autre côté, il faut aussi notifier que plus la date de votre départ à la retraite s’approche de la fin de l’année 2018, voire du début de l’année 2019, plus il y aura une grande différence entre vos revenus de l’année précédente et l’année courante. Néanmoins, si votre année de naissance est en 1957 ou après, et que vous devrez partir à la retraite en 2019, vous aurez une minoration de retraite complémentaire Agirc-Arrco pendant trois ans.
Des centaines voire des milliers d’euros à économiser
Nous parlons d’une économie qui peut aller de quelques centaines à plusieurs milliers d’euros.
Voici quelques exemples pour mieux comprendre :
- Paul, un célibataire salairé qui a pour seul revenu mensuel net 4 400 euros versé sur 13 mois, et une future pension estimée à 3 500 euros nets par mois, peut faire une économie de 4 000 euros environ, s’il part à la retraite le 31 décembre 2018. Mais sa prime de départ restera imposable.
- Eveline, un célibataire qui part à la retraite fin 2018, avec pour seul revenu un salaire menusel net de 3 080 euros, et une pension évaluée à 3 000 euros net, va économiser près de 1 090 euros.
- Célestin, également célibataire, va à peine économiser 192 euros d’impôt car sa pension est plus faible et très proche de son dernier salaire mensuel net qui est de 1 300 euros, alors que l’année précédente, il gagnait 1 320 euros.
Si vous souhaitez avoir une estimation de l’économie d’impôt que vous pouvez obtenir une fois à la retraite, un simulateur est disponible sur le site impots.gouv.fr. Il faut toutefois souligner que la date de votre retraite est soumise à une condition d’âge et à un nombre de trimestres requis. Il est donc plus sage de vous informer auprès de vos caisses de retraite avant de prendre une quelconque décision.
2019 annonce la fin de l’effet d’opportunité pour les nouveaux retraités. Toutefois, grâce au prélèvement àla source, les nouveaux pensionnés jouiront d’un impôt appliqué sur une base réduite, calculée en fonction de leur pension et non de leurs derniers salaires.
- Publié dans Actualités
LE JOURNAL DE BRIGITTE
NOUVELLES LOIS
Le ministère des Affaires sociales a annoncé qu’à compter du 1er janvier 2018, les retraités vivant hors du pays pourront renvoyer par voie dématérialisée les certificats de vie que leurs régimes leur demandent chaque année. De quoi faciliter leurs démarches administratives. Il permettra aux personnes résidant à l’étranger de faire parvenir leur justificatif par mail ou de le déposer sur une plateforme web dédiée.
- Publié dans Actualités
L’Île Maurice, paradis des investisseurs
Sans cesse renouvelée, sans cesse transformée, l’économie mauricienne est un exemple remarqué de l’Afrique et de l’océan Indien.
Comme dans les autres domaines qui font sa singularité, c’est l’historicité de l’île qui explique le dynamisme économique exceptionnel de ce petit pays.
Fini le temps où Maurice vivait essentiellement de la production de canne à sucre ! Dans les années 80, après un catastrophique marasme et un taux de chômage au plus haut, une figure exceptionnellement visionnaire de la politique, Sir Gaëtan Duval, le “Rwa Kreol”, prend l’initiative d’attirer à Maurice les industriels du textile.
Le pays comprend alors que de nouvelles voies de développement sont possibles. Peu après, Sir Gaëtan Duval est à l’origine de ce qui fera de Maurice la perle de l’océan Indien et achèvera de la propulser économiquement : le tourisme et son écrin, l’hôtellerie de luxe.
Depuis ce premier renouveau, tout semble réussir au pays. Maurice a intégré, à l’aube du 21ème siècle, la nouveauté hi-tech, Internet et toutes ses potentialités. Le deuxième étage de la fusée économique mauricienne était boosté pour offrir au pays des perspectives inouïes.
Haute technologie, outsourcing (centres d’appels et services à distance), large système bancaire, fiscalité très favorable, liberté des échanges, population éduquée et bilingue, tous ces atouts conjugués à des accords internationaux de non-double imposition et une participation aux grandes organisations internationales ont permis de qualifier Maurice de “Suisse de l’océan Indien”, c’est tout dire !
À ce stade de la démonstration, je ne peux m’empêcher de revenir rapidement sur quelques points particulièrement séduisants de la fiscalité mauricienne : les bénéfices des sociétés et les revenus personnels sont taxés forfaitairement à 15 % ; il n’y a pas d’imposition sur les plus-values, pas non plus de restriction sur le rapatriement des bénéfices, dividendes et capitaux ; la taxation des dividendes est dérisoire (5% à partir de 3 500 000 Rs) ; enfin, les crédits d’impôt de 80 % sur les sociétés offshore réduisent de fait leur taux d’imposition à 3 %…
Enfin, il faut savoir que l’Ile Maurice a conclu près de 40 traités de non-double imposition qui permettent de profiter du système fiscal mauricien sans avoir à acquitter des impôts dans le pays d’origine signataire de l’accord… et la convention fiscale franco-mauricienne est particulièrement favorable aux Français souhaitant investir ou s’installer à Maurice !
Alors voilà, si vous voulez allier aux charmes de la vie tropicale les affaires dans un contexte extrêmement favorable, n’hésitez plus, renseignez-vous de votre côté ou contactez-nous sur ce site et prenez votre billet d’avion !
- Publié dans Actualités